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La validité des cessions de cabinets d’avocats est entérinée de longue date par la jurisprudence de la Cour de cassation au travers de la notion ancienne de présentation de clientèle ou de la notion récente plus synthétique de cession du fonds libéral.
Depuis le 7 novembre 2000, la cour de cassation considère que la cession d’une clientèle libérale n’est pas illicite, dès lors que la liberté de choix du client est expressément sauvegardée (arrêt Woessner-Sigrand, Cass 1ère Civ. 7 novembre 2000, n° 98-17.131 Bull civ I n° 283).
Depuis le 7 novembre 2000, la Cour de cassation considère que la cession d’une clientèle libérale n’est pas illicite, dès lors que la liberté de choix du client est expressément sauvegardée (arrêt Woessner – Sigrand Cass 1ere civ 7 nov 2000, n° 98-17.131 Bull civ I n° 283).
Cette structure d’exercice est la déclinaison libérale de la SARL. Elle est régie par la loi n° 90-1258 du 31 décembre 1990.
Cette structure d’exercice a été instituée par un décret du 10 avril 1954. Avant la promulgation de ce décret, tout exercice en commun de la profession d’avocat était interdit. L’association d’avocats est donc historiquement la première structure d’exercice en commun.
Cette structure de moyen est une création ancienne du seul barreau de Paris. En effet, il n’existe aucun texte légal ou réglementaire qui évoque le groupement de cabinets d’avocats.